Langue : Français

  • https://youtu.be/u1iKrUFxFAM

    Introduction

    Y a-t-il des odeurs qui vous reviennent en mémoire ?

    L’odorat est l’un des sens les plus fascinants que nous ayons. Une odeur peut vous évoquer l’agréable souvenir d’un repas que vous aimiez enfant, tandis que les mauvaises odeurs suscitent le dégoût.

    L’unité de l’Église est semblable à votre odorat : elle vous inspire l’espoir et la force lorsque vous la vivez, ou elle vous donne envie de vous écarter et de vous enfuir lorsque des conflits mal gérés la font s’évaporer.

    Et c’est bien de cela qu’il s’agit dans le Psaume 133.

    Contexte littéraire

    Le Psaume 133 fait partie d’un groupe de 15 Psaumes appelés « Psaumes des montées ».

    Le premier de cette série, le Psaume 120, exprime la douleur de la discorde et de l’hostilité, tandis que le Psaume 133, à la fin, répond à la question posée dans le Psaume 120 : comment parler de paix au milieu d’une société qui choisit la guerre ?

    Contexte historique

    Il est possible que les pèlerins qui ont vécu l’exil aient utilisé les Psaumes des montées lorsqu’ils se rendaient à Jérusalem pour célébrer une grande fête. Il s’agit de Psaumes courts qui, lorsqu’ils sont chantés, confortent les convictions et les valeurs fondamentales qui nous rappellent les contextes d’oppression et les souffrances comme celles des israélites en exil.

    Une interprétation de ce passage :

    L’unité, une réalité visible

    Même si certaines versions ne traduisent pas le premier mot qui suit le titre, hinneh, ou « regarde », est très significatif. En invitant à « regarder », le texte souligne que lunité du peuple de Dieu nest pas seulement quelque chose de spirituel, ou quelque chose dont on ne jouit quaprès la mort. Lunité du peuple de Dieu est une réalité concrète qui peut être vue et vécue ici et maintenant.

    Au deuxième siècle, Tertullien a dit : « Voyez comme ils s’aiment ».

    L’unité, une réalité attrayante

    L’unité est une bénédiction qui entraîne d’autres bénédictions ; c’est une vie longue et abondante ; c’est l’arôme qui se répand ; c’est la rosée qui irrigue.

    Tout comme une odeur agréable attire les gens, l’unité du peuple de Dieu est quelque chose que tout le monde désire expérimenter et qui devient irrésistible lorsqu’elle est atteinte. C’est comme lorsque vous avez très faim et que vous passez près d’un restaurant d’où émane le parfum de votre plat préféré.

    De la même manière, lorsque vous trouvez l’unité au milieu d’une mer de discorde et de conflit, vous ne voulez pas la lâcher.

    L’unité, une réalité reçue.

    Le passage parle de l’huile et de la rosée qui descendent. L’huile coule jusqu’au col du vêtement du prêtre, où les pierres précieuses placées sur sa poitrine symbolisent les tribus d’Israël. La rosée apporte fraîcheur et fertilité du mont Hermon au mont Sion.

    C’est ce qui caractérise l’unité des israélites : elle est donnée par Dieu et reçue par son peuple.

    La véritable unité ne se construit pas ou ne s’atteint pas par des accords humains sur la doctrine et la pratique ; c’est un don de Dieu.

    Application

    Le Psaume 133 parle de la réalité de l’unité, mais n’explique pas comment la recevoir en pratique. Colossiens 3/14 affirme que l’amour rend l’unité possible. 1 Jean 4/7-21 explique que l’amour est la seule preuve que nous connaissons Dieu. Les divisions dans le corps du Christ sont comme la puanteur qui repousse les autres.

    En revanche, l’unité de l’Église attire les autres, car elle témoigne d’un amour surnaturel qui unit les disciples dans l’harmonie, malgré leurs différences.

    Nous prions pour que les 500 prochaines années de l’histoire du mouvement anabaptiste soient marquées par l’amour, la réconciliation et le don de l’unité qui attirent ceux qui sont fatigués d’un monde destructeur plein de divisions, de nationalisme, de polarisation et de guerres interminables.

    —César García est secrétaire général de la Conférence mennonite mondiale. Originaire de Colombie, il vit à Kitchener, Ontario, Canada, avec sa femme Sandra Baez.

  • Inspiration et réflexion

    Perspectives

    Resources

    Secrétaire Général


    Partager le pain de vie

    «Toute personne qui a découvert la bonté de Jésus devrait en faire part aux autres»

    L’évangélisation est un mot qui fait peur à beaucoup d’entre nous ; mais ce simple conseil offert par des pasteurs éthiopiens simplifie la tâche. Bien que nous ayons tous la responsabilité de partager l’Évangile, c’est le Saint-Esprit qui change les cœurs. Notre travail consiste simplement à parler de notre expérience de la bonté de Dieu.

    Dans ce numéro du Courrier, nous publions des récits de paroisses qui grandissent de différentes manières. L’équipe de responsables des assemblées Meserete Kristos (MKC) partage sa stratégie en 10 étapes concernant leur croissance.

    L’assemblée locale d’Anolaima (Colombie), est une bénédiction pour les arbres, l’herbe et les oiseaux, plantant des graines d’évangile dans le cœur des visiteurs de leur «Igle-Parque».

    Et aux Pays-Bas, un centre de retraite mennonite et un réseau de camping qui y est associé vivent des vies transformatrices dans la communauté, en accueillant les interrogations et en laissant Dieu y répondre.

    Vous trouverez également des témoignages de l’événement ‘Renouveau 2024’ à Curitiba (Brésil) : Transformés, ensemble nous vivons Jésus. En Indonésie, au Zimbabwe et en Uruguay, lisez comment les églises favorisent la croissance de la foi lorsque nous suivons Jésus et parlons ce que nous avons vécu.

    Dans nos articles ‘Ressources’, vous découvrirez des informations intéressantes sur le 500e anniversaire de l’anabaptisme, qui sera célébré prochainement. Enfin, nous avons besoin de votre avis!

    Comment les témoignages que vous avez lus dans Courrier vous ont-ils touché ? Comment avezvous fait connaître ces témoignages dans votre communauté d’églises au sens large?

    Nous souhaitons connaître votre opinion sur ce que vous trouvez de plus intéressant dans Courrier. Merci de scanner le QR code ci-dessous ou de visiter [URL] pour répondre à notre enquête. Elle ne vous prendra que cinq minutes, mais votre réponse aidera la CMM à faire en sorte que Courrier soit pertinent pour vous et votre paroisse. Nous vous remercions de votre aide.

    —Karla Braun est rédactrice, auteure et coordinatrice du site Internet de la CMM. Elle vit à Winnipeg, Manitoba, Canada.

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  • Ressources pour le culte.

    Préparées par le Comité des YABs (Jeunes Anabatistes) pour la semaine du16 au 23 juin 2024.

    Thème :

    Semaine de la Fraternité des YABs 2023 à Mennonite Church Rajnandgaon, Inde/Preshit Rao

    Mosaïque : Nous sommes l’œuvre de Dieu.

    Pourquoi avoir choisi ce thème ?

    Ce thème met l’accent sur notre rôle dans le grand projet de Dieu. Comme des carreaux de céramique, seuls, nous ne pouvons pas voir notre valeur. Parfois, nous pouvons penser que nous sommes insignifiants, mais lorsque Dieu nous met en contact avec les bonnes personnes et les bons endroits, nous trouvons notre place : nous découvrons notre but et réalisons notre valeur.

    Textes bibliques :

    Éphésiens 2/8-10

    Car c’est par la grâce de Dieu que vous avez été sauvés, au moyen de la foi. Ce salut ne vient pas de vous, il est un don de Dieu ; il n’est pas le résultat de vos efforts, et ainsi personne ne peut faire le fier. En effet, nous sommes l’œuvre de Dieu ; il nous a créés, unis avec Jésus Christ, pour que nous menions une vie riche en actions pleines de bonté, celles qu’il a préparées d’avance afin que nous les pratiquions. (NFC)

    Genèse 1/27

    Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa ; mâle et femelle il les créa. (TOB)

    Ressources supplémentaires disponible dans ce dossier

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    Resources: 

    Français

  • Inspiration et reflexion

    Perspectives

    Ressources

    Secrétaire Général 


    Le mot de la rédactrice

    Une confession, et beaucoup d’humilité 

    « Dieu est sous les décombres à Gaza… Il marche avec nous dans la vallée de l’ombre de la mort. Si nous voulons prier, ma prière est que ceux qui souffrent ressentent cette présence bienfaisante et réconfortante ». 

    Dans de son message, le pasteur, professeur et auteur, Munther Isaac, a prononcé ces paroles de lamentation devant son assemblée, en Cisjordanie, en octobre. Elles ont circulé par vidéo et en version imprimée, elles ont été reprises et contestées dans le monde entier au cours des mois qui ont suivi, alors que les décombres ne cessaient de s’amonceler. 

    Ce numéro du Courrier traite d’une question toujours controversée. Au moment où il paraît, la mort s’est abattue sur deux peuples sur une terre appelée Israël, Palestine, Terre sainte, Moyen-Orient, Levant. 

    Cette question « appelle à la confession et à beaucoup d’humilité », déclare J. Daryl Byler, qui travaille depuis longtemps pour le Comité central mennonite en Palestine et en Jordanie. 

    Par l’intermédiaire du Comité central mennonite, les mennonites soutiennent des projets éducatifs destinées au peuple palestinien depuis les années 1940. Dans un pays riche en églises, certains groupes mennonites ont choisi de laisser leur marque par le service plutôt que par l’implantation d’églises. 

    Les mennonites partagent aussi un passé avec les peuples juifs. Les premiers anabaptistes ont reconnu que le judaïsme nous permettait de comprendre Jésus en tant qu’homme juif et qu’il nous permettait de résister à l’empire pour rechercher le royaume de Dieu. Cependant, la coexistence des mennonites et des juifs en Europe aux XIXe et XXe siècles n’a pas toujours été harmonieuse. Dans l’Allemagne nazie, les mennonites avaient autant tendance à soutenir l’État qu’à lui résister. 

    « Les chrétiens ont utilisé la Bible pour soutenir des positions antisémites et sionistes chrétiennes. L’une suggère que le peuple juif n’est pas pleinement humain, l’autre qu’il est spécialement choisi et favorisé », explique J. Daryl Byler. « Aucune de ces positions n’est cohérente avec les valeurs bibliques fondamentales : 

    • Dieu aime le monde 
    • Tous les êtres humains sont créés à l’image de Dieu 
    • Dieu nous appelle à agir avec justice, à aimer la bonté et à marcher humblement 
    • Jésus nous appelle à aimer notre prochain comme nous-mêmes 
    • Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus ni homme ni femme, car tous vous ne faites qu’un dans le Christ Jésus » (Galates 3,28). 

    Ce numéro s’éloigne de l’horreur qui se déroule chaque jour sur nos écrans pour se pencher sur ces thèmes bibliques et partager des témoignages. 

    Dans notre dossier, des universitaires et des acteurs de terrain nous font part de leur lecture personnelle de la Bible concernant la terre et les peuples qui l’habitent. 

    Les auteurs de Perspectives nous expliquent comment leur séjour sur cette terre a façonné leur foi. 

    « Nous devons désapprendre les mythes », dit Jonathan Kuttab, un chrétien palestinien qui a de nombreux points communs avec les mennonites. 

    Il nous faut désapprendre des mythes sur le peuple palestinien et des mythes sur l’innocence des mennonites à l’égard du peuple juif, ce qui nécessitent humilité et confession. 

    Le fait d’exercer un pouvoir sur d’autres personnes, de les déshumaniser, ne permet pas de construire un monde où chacun peut s’épanouir. Ce n’est certainement pas la voie de Jésus. Qu’il s’agisse d’oppression ou de richesse, nous sommes tous tentés d’en faire porter la responsabilité aux autres et de les détruire pour notre propre bénéfice — qu’ils s’agissent d’Israéliens, de Palestiniens, de juifs, de mennonites ou d’autres. 

    Mais en tant que disciples de Jésus, lorsque nous lisons notre Bible, puissent-elles nous appeler à parler au nom de ceux qui souffrent, quel que soit le ‘camp’ auquel ils s’identifient. Marchons dans la vallée avec ceux qui sont dans l’ombre de la mort. Luttons contre l’injustice, quels qu’en soient les auteurs. Et repentons-nous de notre incapacité à discerner l’injustice, à parler avec courage et à agir avec amour. 

    Karla Braun est rédactrice, auteure et coordinatrice du site Internet de la CMM. Elle vit à Winnipeg, Manitoba, Canada. 

    Further reading on CCC 39.1

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  • Inspiration et réflexion

    Perspectives

    Profil d’un pays

    Ressources

    Secrétaire Général 


    Le mot de la rédactrice

    Consacrer de l’espace et du temps aux conflits

    Nous n’aimons pas en parler

    Notre tradition en tant que mennonites artisans de paix résulte d’une scission avec les Églises institutionnelles, et notre pluralité actuelle – avec ses forces et ses faiblesses – est le résultat, dans de nombreux cas, d’un désaccord qui n’a pas été résolu. Nos histoires personnelles peuvent aussi contenir des souvenirs de conflits mal gérés : relations brisées, responsables ostracisés, paroisses divisées.

    Ce numéro du Courrier se propose de les aborder.

    Dans notre article de fond, Daniel Schipani explore l’histoire du concile de Jérusalem dans Actes 15. Il s’agit d’un contexte multiculturel propice à un désaccord sur des questions d’importance spirituelle. Il ne s’agissait pas seulement de savoir s’il fallait chanter les anciens hymnes ou les nouveaux !

    Mais il y a eu un dialogue.

    Dans les premiers temps de l’Église, face à une question d’une importance cruciale, les différents partis ont parlé de leurs peurs et ont travaillé au discernement collectif. L’unité de l’Église a pu persister malgré la diversité parce qu’elle est un don de Dieu.

    « L’unité en Christ que Dieu est en train de créer s’étend jusqu’aux limites de l’espace et du temps et au-delà – et nous inclut tous, même lorsque nous ne nous incluons pas les uns les autres ! » dit Larry Miller, ancien secrétaire général de la CMM.

    Dans son discours devant le Conseil général de la CMM, Larry Miller a proposé trois pratiques qui pourraient nous aider à aborder les conflits dans l’Église et à se sentir unis à la fin sans pour autant être arrivés aux mêmes conclusions.

    • a. Reconnaître Christ les uns dans les autres. Même lorsque l’autre semble avoir tort sur des points de théologie et de pratique, pouvons-nous reconnaître l’amour de l’autre pour le Christ et son désir de le suivre ?
    • b. Apprendre les uns des autres de manière réceptive. Tout comme nous pensons avoir quelque chose à vous apprendre sur ce que Jésus voulait vraiment dire, vous pouvez aussi avoir quelque chose à nous apprendre sur la fidélité.
    • c. S’unir en tant qu’assemblée locale. Dans certains cas, c’est là que réside le conflit ! Mais pouvons-nous nous rappeler – même en cas de conflit – que personne ne sait tout, mais que chacun sait quelque chose ? Le théologien mennonite suisse Hanspeter Jecker déclare : « Reconnaître cela exige que les dons de chacun contribuent au bien-être de l’ensemble…. Les encouragements mutuels et les exhortations sont les fondements pour… devenir une communauté qui pardonne, ainsi qu’une communauté pardonnée. »

    Ce ne sera pas facile, ni rapide, et demandera du courage. Mais plutôt que de fuir les conflits, pourrions-nous utiliser ces principes pour se tourner vers les conflits avec le don de l’unité, afin que la justice et la paix s’embrassent ?

    —Karla Braun est rédactrice en chef de COURRIER pour la Conférence Mennonite Mondiale. Elle vit à Winnipeg (Canada).

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  • Septembre 2023 

    À : Toutes les églises mennonites, Frères en Christ et anabaptistes du monde entier 

    Chers frères et sœurs :  

    C’est avec beaucoup de plaisir que nous vous envoyons les documents pour le culte du Dimanche de la Fraternité anabaptiste mondiale (AWFS). La CMM prépare du matériel  
    pour le culte trois fois par an pour les églises membres : Le Dimanche de la Paix (le 17 septembre 2023), la Semaine de la Fraternité des YABs (Jeunes Anabaptistes) (la 3e semaine de juin) et le Dimanche de la Fraternité Anabaptiste Mondiale (le 21 janvier 2024). 

    Chaque année, pour l’AWFS, nous encourageons les églises anabaptistes du monde entier à célébrer un culte autour d’un thème commun afin d’établir un lien avec notre famille anabaptiste mondiale. De nombreuses églises choisissent de célébrer le dimanche le plus proche du 21 janvier, mais certaines choisissent le dimanche de Pentecôte ou encore d’autres dates. Le 21 janvier 1525 est le jour du premiers baptêmes anabaptiste à Zurich, en Suisse. 

    L’AWFS est l’occasion de rappeler à nos communautés spirituelles que nous faisons partie d’un seul corps composé d’une multitude de tribus, de langues et de nations (Apocalypse 7/9). 

    C’est une invitation à proclamer de manière visible qu’il ne peut y avoir de discrimination entre nous à cause de notre couleur de peau, de notre statut social ou de notre genre (Galates 3/28). 

    C’est une invitation à montrer que nous sommes de nouvelles créatures qui marchent à la suite de Jésus (2 Corinthiens 5/17) et qui se soutiennent mutuellement, accompagnent ceux qui souffrent, servent le monde et apprennent ensemble de manière interdépendante. 

    Ce jour-là, nous célébrons la victoire du Christ par le pouvoir de l’Esprit sur les barrières culturelles et les nationalismes qui jadis nous séparaient. 

    L’AFWS permet à toutes les églises locales de participer à un culte commun en esprit, en leur temps, et là où elles se trouvent. 

    Chaque année, c’est une région différente de notre communion mondiale qui rassemble les ressources pour le culte de l’AWFS. Le thème de l’AWFS 2024 est « Mosaïque : Faire partie de la grande image de Dieu » et les ressources de culte proviennent de nos sœurs et frères d’Amérique Latine. 

    Les documents comprennent des passages bibliques, des prières, des suggestions de chants, une trame pour la prédication, des témoignages, et du matériel multimédia. 

    Les présidents de culte et les pasteurs peuvent choisir parmi ces ressources ce qu’ils et elles veulent utiliser pour célébrer l’AFWS comme ils le souhaitent. Nous espérons que toutes les églises locales reconnaîtront leur appartenance à cette famille de foi mondiale sous une forme ou une autre en janvier 2023.  

    Veuillez noter que la CMM dispose d’un Bureau des prédicateurs où vous pouvez inviter des responsables de la CMM à parler virtuellement dans les églises locales. 

    Des ressources pour sa célébration seront disponibles ci-joint et à mwc-cmm.org/dimanchefraterniteanabaptistemondiale

    La CMM apprécie que vous envoyiez vos commentaires, vos photos, et vos réflexions concernant l’AWFS, afin de pouvoir les partager avec les autres membres de notre communauté spirituelle mondiale. Vous pouvez envoyer vos photos et vos histoires par courriel à photos@mwc-cmm.org

    Les offrandes collectées ce jour-là et envoyées à la CMM seront comptabilisées en tant que contribution à la Part Équitable de chaque Église membre et serviront à poursuivre notre objectif de faire avancer le royaume de Dieu dans notre société.  

    Grace and paix, 

    César García, Secrétaire Général
    Arli Klassen, Régional Représentatives Coordinatrice

  • Dimanche de la FraternitŽ Anabaptiste Mondiale 2024

    Job 42/1-6 en Espagnol
    Jean 10/14-16 en Portugais
    Jean 10/14-16 en Allemand
    Éphésiens 4/1-6 en Espagnol

     

  • Thème 
    Mosaïque : Faire partie de la grande image de Dieu

    Pourquoi avoir choisi ce thème ?
    La Conférence Mennonite Mondiale a de nombreux membres, tous différents les uns des autres, et qui pourtant forment tous ensemble une magnifique image du corps du Christ.

    Poster AWFS 2024 French_Tabloid size_Horizontal
    Poster AWFS 2024 French_Tabloid size_Vertical

  • Photo: Juan Francisco Novoa
    • Pour le conflit en Ukraine. Puissent les personnes impliquées dans le conflit reconnaître l’humanité de leur prochain de l’autre côté de la frontière. Puissent-elles reconnaître leur interconnexion et mettre fin à la douleur et à la souffrance. Puissent-ils reconnaître que la guerre ne fait finalement que déchirer davantage les peuples.
    • Pour un changement concernant l’hostilité dont le gouvernement indien fait preuve à l’égard des chrétiens.
    • Pour les personnes au Myanmar – en particulier nos frères et sœurs mennonites – alors qu’elles subissent une violence continue.
    • Pour nos frères et sœurs mennonites d’Amérique du Nord ( à savoir Turtle Island), pour qu’ils explorent les moyens de se solidariser avec les peuples autochtones et leurs luttes pour la terre, la reconnaissance, la dignité et la restitution.