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  • Nairobi, Kenya – Neuf délégués du Kenya et de trois rédacteurs en chef se sont réunis à la Guest House mennonite à Nairobi la semaine dernière en Janvier. Leur tâche: la preuve du manuscrit d’une histoire de l’Église mennonite du Kenya (KMC), une église Mennonite Mondiale Conférence membre. L’idée de ce livre, la chronique de KMC 50 ans d’histoire, était né en 2003 au sommet de la Conférence mennonite mondiale au Zimbabwe, au Kenya, une discussion entre Opondo Mgr Dominic et David W. Shenk, auteur et consultant EMM mondiale.

    «C’est le récit des actes de l’Esprit Saint dans l’appel ci et formant l’Église mennonite au Kenya», écrit Francis Ojwang, chercheur principal et auteur du livre, dans la préface. «Tout comme l’ancien Israël et l’Eglise primitive a fait une très grande priorité de l’écriture de leur histoire des actes de Dieu parmi eux, de même aussi le KMC nécessaire pour enregistrer leur cheminement avec Jésus-Christ. »

    Les neuf délégués étaient des évêques, des pasteurs et des dirigeants, chacun représentant les diocèses de KMC. Ils ont passé trois jours complets de verser sur le manuscrit de près de 200 pages. Ils lisent à haute voix et chaque section a ensuite examiné si l’histoire qu’il dépeint est exacte – de passer seulement après avoir atteint un consensus, à la manière africaine. Il y avait des histoires de modifier, d’adjectifs à tordre, et en raison des différentes ethnies concernées, les mots mal orthographiés vernaculaires et noms de lieux à corriger.

    Pendant la lecture, David Shunkur, un pasteur Massaï de Olepolos, lire un passage du manuscrit qui décrit l’histoire de sa propre congrégation de. Shenk, qui a servi comme éditeur-conseil, a déclaré: «C’était une scène émouvante de voir l’épreuvage Shunkur un paragraphe sur l’histoire qu’il avait fait lui-même des années auparavant. Les délégués ont manifesté une énorme quantité d’appropriation du processus. « 

    Le livre sera publié par la maison d’édition Uzima, la maison d’édition anglicane au Kenya, au début de 2013.

    La distribution internationale de la libération de l’Est Mission Mennonite par Debbi DiGennaro

    Photo supplémentaire disponible

  • Japon – Aider les personnes résidant dans des logements provisoires est une des manières de pratiquer l’entraide pour la Japon Mennonite Fellowship, suite au tremblement de terre et au tsunami de mars 2011.

    Fin décembre, de nombreux refuges ont fermé, et les personnes concernées ont dû emménager dans un logement temporaire, première étape vers leur indépendance.

    La Japon Mennonite Fellowship a décidé d’aider les membres de la Kesennuma First Bible Baptist Church, rasée par le tsunami. Jusqu’à présent, ce secours a consisté en distribution de colis alimentaires aux 153 familles vivant dans un logement provisoire. Les colis ont été assemblés dans une salle communautaire temporaire.

    Des membres de l’église mennonite d’Hiroshima ont participé au travail de la Japon Mennonite Fellowship. Celle-ci, qui représente quatre églises membres de la CMM au Japon, a formé le comité East Japan Great Disaster Relief Assistance en mai 2011 pour coordonner les secours aux victimes du tremblement de terre et du tsunami.

    D’après des rapports traduits par Takanori Sasaki, président de Japon Mennonite Fellowship

  • Pays-Bas – Le 6 novembre 2011, le Fonds Anne Zernike a été créé en l’honneur de la première pasteure mennonite aux Pays-Bas, un siècle après son ordination le 5 novembre 1911. Elle a été aussi la toute première pasteure ordonnée aux Pays-Bas.

    Le fonds a deux objectifs. Le premier est « d’encourager et de soutenir les femmes pasteures anabaptistes mennonites du monde entier dans leur vocation, et aussi, si nécessaire, de leur fournir un petit soutien financier ».

    Le second est « d’inviter les paroisses mennonites et anabaptistes à travers le monde à valoriser les compétences et les dons des théologiennes, en leur proposant un poste rémunéré en fonction de leur éducation et de leurs compétences en tant que pasteure ordonnée, et de récompenser l’assemblée par un prix, la première fois qu’elle ordonne une femme ».

    L’idée du fonds est née de la rencontre des théologiennes (Mujeres teólogas) de toute l’Amérique latine, qui s’est tenue juste avant le Rassemblement de la CMM en 2009 au Paraguay.

    Les trois personnes qui ont lancé le Fonds Anne Zernike sont Christina-Duhoux Rueb, Coot Winkler Prins et Thijn Thijink, qui sont pasteures ordonnées dans une assemblée de l’Algemene Doopsgezinde Societeit (Église mennonite des Pays-Bas), membre de la CMM. Une autre femme, Antje van Dijk, préside les cercles des sœurs mennonites néerlandaises.?

  • Orodara, Burkina Faso – Pendant la deuxième semaine de février, plus de 100 femmes mennonites se sont retrouvées à Orodara pour le séminaire annuel féminin de l’Église Évangélique Mennonite du Burkina Faso. Comme par le passé, le séminaire a associé la formation continue des adultes, le renouveau spirituel et les loisirs.

    Comme l’église du Burkina n’a que 374 membres baptisés, la participation de plus d’un quart des membres de l’église a beaucoup contribué à développer sa vitalité spirituelle, ce qui accroît aussi sa capacité à partager le Pain de Vie avec les communautés environnantes.

    L’effet de ces conferences ?tait manifeste en août dernier lors d’un séminaire pour couples. Près de 80 hommes et femmes ont approfondi leurs connaissances sur les relations conjugales, l’importance de la communication, le pardon mutuel, la psychologie, la pédagogie, la gestion des ressources et d’autres sujets.

    Siaka Traoré, président de l’Église mennonite du Burkina, a raconté comment, après le séminaire d’août, des responsables d’église ont été appelés à intervenir dans un différend entre un père et ses enfants.

    « Après avoir assisté à ce séminaire, le père a été capable de parler lui-même à ses enfants. Ils ont résolu sans médiation extérieure les problèmes qui menaçaient de diviser la famille. »

    Claire Traoré, présidente de l’Association des Femmes Mennonites du Burkina Faso, et épouse de Siaka, a ajouté que maris et femmes se parlaient davantage – et prenaient aussi le temps de prier ensemble.

    « La communication mutuelle – et avec Dieu – réduit réellement les problèmes à la maison, » dit Claire Traoré.

    – D’après un communiqué de Lynda Hollinger-Janzen, Mennonite Mission Network (Mennonite Church USA)