Posté: 10 novembre, 2022
« Je ne serai jamais assez reconnaissant du fait que, bien que nous soyons un énorme groupe très divers, nous parlons la même langue : la langue de l’amour pour le Christ et son peuple », déclare Daniel Nugroho. Il faisait partie de l’équipe qui a nous a permis à tous de nous comprendre.
Jusqu’à quatre interprètes sur une équipe de 21 traduisaient en indonésien sur la scène les orateurs lors de chaque culte. Pendant ce temps, deux interprètes d’une équipe de sept travaillaient dans les cabines française et espagnole.
Les interprètes ont rencontré des difficultés inattendues en Indonésie avec le COVID et les problèmes de connexion internet affectant les casques d’écoute.
« La traduction simultanée est un exercice particulièrement exigeant, qui demande beaucoup d’attention, d’autant plus qu’il faut s’adapter aux accents et aux modes de d’expression des différents locuteurs », explique Karina Derksen-Schrock, coordinatrice de l’interprétation de la CMM.
Et la compréhension ne dépend pas seulement des mots utilisés.
« En tant qu’interprète, nous avons l’occasion d’être un pont non seulement pour le langage mais aussi pour la culture, et ainsi de connecter les gens », dit Sarah Pillay, interprète de l’anglais vers l’indonésien.
Le coordinateur de l’interprétation pour l’indonésien, Ary Rusdianto, a travaillé dans les coulisses pendant des années. Il a supervisé la traduction des divers textes et des documents sur le culte en indonésien pour aider les autres Indonésiens à se familiariser avec la CMM avant l’Assemblée. L’une de ses difficultés a été de trouver des interprètes pour l’indonésien et l’espagnol.
« Dieu nous a béni car il a fourni de nombreux interprètes indonésiens pour nous aider lors de l’Assemblée », dit Ary Rusdianto.
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