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Assembly 17, Indonesia 2022 Video Workshops
Mennonite World Conference Assembly
Asamblea del Congreso Mundial Menonita
Rassemblement de la Conference Mondiale MennoniteApprendre l’Indonésien avec la CMM – Décrire ma famille Apprendre l’Indonésien avec la CMM - Décrire d’où vous venez Apprendre l’Indonésien avec la CMM – Salutations Indonesia Episode 1: Greetings 
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The Global Anabaptist Peace Network (GAPN) is a network that seeks to connect and support peace organizations (agencies, schools, training programs, research projects, think-tanks, activist-focused initiatives, activists, scholars) that have emerged from and serve our global Anabaptist-Mennonite church communion. Our hope is to provide a supportive community as we work together at making our world a better and more just place. We want to help one another in embodying and witnessing to justice, peace, and reconciliation.
In our pursuit of these goals, the GAPN seeks to:
- Connect the “fruit” of our Mennonite World Conference related churches and walk in solidarity with, and support, one another.
- Strengthen the church and communities of peace and justice in our world and for the world.
- Create opportunities to explore what it means to be dedicated to Jesus’ way of peace.
- Nourish our Anabaptist-Mennonite Christian identity and our peace consciousness.
In seeking the above goals, the GAPN provides the following in our ongoing communal effort in being agents of peace and justice:
- Sharing news and resources: we share and provide information, prayer requests, and resources (such as training and educational material) among member organizations.
- Connect: we want to connect and learn from one another. In order to foster this connection, we help to provide and map organizational presence and activity and share that with member organizations.
- Create spaces: we create spaces whereby member organizations can connect, learn, and be transformed through gatherings and opportunities to come together. The GAPN supports and facilitates spaces for members to meet, share, learn from one another, and connect, both incarnationally (i.e., in face-to-face gatherings) as well as virtually.
We welcome your involvement in the GAPN! Please fill out this form and return it as indicated.
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Il y a deux ans, la CMM avait demandé à ses membres de lui envoyer des récits portant sur ce qu’ils avaient fait en faveur de la paix. Le Conseil de la Paix les a étudiés lors de sa rencontre en août 2003, et nous transmet un résumé de ce qui est ressorti des discussions.
1. Panorama des activités en faveur de la paix :
Tous les chrétiens sont appelés à être des témoins de paix, mais on peut l’être à divers niveaux. En voici une liste non exhaustive :
a. La paix avec Dieu : conséquence de la conversion, point de départ de tous les autres niveaux de mise en pratique de la paix.
b. La paix avec soi-même : estime de soi et intégrité personnelle en sont des éléments importants.
c. La paix au sein de la famille : concerne tous les aspects de la vie de famille, les relations interpersonnelles et la violence domestique.
d. La paix au sein des églises et des unions d’églises : concerne les conflits internes.
e. La paix avec ses voisins : résoudre les conflits dans la communauté au sens large.
f. La paix avec les autres chrétiens : aller au-delà des divisions historiques par le dialogue et le témoignage.
g. La paix interreligieuse : chercher à avoir des relations respectueuses avec les personnes pratiquant d’autres religions et témoigner honnêtement.
h. La paix au sein des nations et entre les nations : engagement au plan national et international.
i. La paix dans le domaine de l’environnement : trouver des modes de vie qui respectent la nature.
j. La paix avec ses ennemis : défi spirituel à tous les niveaux de relations.
2. Vertus bibliques contribuant à la paix :
Les activités des églises en faveur de la paix découlent de leur interprétation de la Bible. Un certain nombre de vertus bibliques en sont à la base :
- liberté
- estime de soi
- amour
- repentance
- solidarité
- souffrance (patience et endurance)
- réconciliation (restauration des relations)
- justice et paix pratiquées conjointement
- affrontement de l’injustice
3. Pratiques formatrices :
Les participants au Conseil de la Paix ont fait une liste d’activités pour aider les chrétiens à faire de la paix une pratique habituelle. Devenir artisan de paix dépend :
a. Dans la catéchèse et la vie de disciple : de l’enseignement donné dans l’église aux nouveaux membres.
b. Dans la louange :de la façon dont elle est pratiquée.
c. Dans la prière : de la régularité de la vie de prière et de la discipline spirituelle. Le témoignage vis-à-vis des pouvoirs en place peut aussi être considéré comme une forme de prière.
d. Dans la formation des chrétiens : de sa mise en place et du fait qu’elle devrait s’adresser à toutes les générations et aussi aux responsables d’églises.
e. Dans le volontariat :la pratique de cette activité qui peut aider les jeunes chrétiens à apprendre à travailler pour la paix.
f. Dans la conscience de la réalité mondiale : de mieux comprendre ceux qui vivent au-delà de nos frontières, en tenant compte des différences ethniques et religieuses.
g. Dans l’action non-violente :de la prise de position vis-à-vis des pouvoirs en place et des actions menées contre l’injustice qui permettent aux chrétiens d’acquérir des compétences dans le domaine de la paix.
4. Recommandations à la CMM :
Les participants au Conseil de la Paix encouragent la CMM à continuer à considérer la paix comme un élément central des conversations entre nos églises membres :
a. La CMM devrait encourager toutes les églises membres à trouver comment coopérer dans le domaine de la paix dans leur contexte avec d’autres groupes et églises chrétiennes et ceci particulièrement dans le cadre de la “Décennie pour vaincre la violence”.
b. Comme le Dimanche de la Fraternité Mondiale, la CMM devrait décider qu’un dimanche par an soit consacré “Dimanche de la Paix”. Ce dimanche-là, les églises membres pourraient organiser le culte spécifiquement autour de ce thème ; il faudrait préparer et envoyer des documents sur ce thème aux églises.
c. Le prochain Rassemblement Mondial devrait inclure une journée ou un culte consacré au thème de la paix. On pourrait y inclure des histoires du monde entier décrivant comment les églises œuvrent pour la paix
Courrier 2004, Vol 19 No 1
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Points forts de la prise de décision par Consensus (“devenir une seule pensée”)
Le consensus, un moyen de prendre des décisions sans passer par le vote, permet une participation plus forte de tous les membres au Conseil Général, offre un cadre de collaboration harmonieux pour la prise de décision et permet aux délégués de discerner ensemble la volonté de Dieu (Eph. 5:17) pour l’église et pour la CMM.
- Arriver à un accord en passant par une discussion honnête et respectueuse est une procédure qui est reconnue et acceptée par un grand nombre.
- Elle encourage la consultation, l’investigation, une réflexion qui s’inscrit dans le questionnement et la prière. (pas dans la confrontation).
- Elle valorise l’expérience et la perspective de tous les membres et veut l’appliquer.
- Elle veut entendre, comprendre et respecter toutes les préoccupations et tous les points de vue.
- Elle encourage la participation de toutes les églises pour arriver à une décision
- Elle aide les églises à apprendre les unes des autres et à renforcer leur communion.
Etapes pour arriver au consensus
Ces indications décrivent les étapes habituellement utilisées pour prendre des décisions par consensus. Chaque étape n’est pas forcément appropriée pour chaque réunion ou décision, mais il sera utile de suivre ces indications autant que possible. Souvent une étape se fond dans la suivante sans qu’il n’y ait une nette coupure dans le cours de la réunion. Néanmoins chaque étape fait partie de la progression vers le consensus.
1. Information
1.1 Présentation du sujet : des informations historiques pour expliquer pourquoi ce sujet est traité, des informations qui permettent de comprendre l’enjeu, des informations qui donnent les différentes perspectives et proposent une action, sont soumises aux membres du Conseil Général, généralement avant la réunion.
1.2 Clarification sur la question : Lorsqu’un sujet est introduit lors de la réunion, les membres du Conseil peuvent demander des clarifications, poser des questions et demander des informations sur des points de vue divergents.
2. Delibération
2.1 Discussion ouverte, délibération : Des discussions sur les divers points de vue et un débat animé sont encouragés. Suite à une intervention ou à un temps de discussion, ceux qui sont d’accord montreront leur carton orange et ceux qui ne sont pas d’accord montreront leur carton bleu. Si les cartons ne peuvent pas être vus facilement par toutes les personnes présentes, la personne qui préside informera le Conseil sur la proportion de cartons de chaque couleur respective. Si les membres du Conseil pensent qu’il faut passer à l’étape suivante, ils peuvent montrer leur carton orange et bleu croisés, afin que le président puissent les voir ensemble. Cette indication peut être donnée durant ou après les interventions. Ces indications permettent d’éviter la répétition de discours et permet à la personne qui préside d’avoir une idée de la force des convictions pour les diverses idées ou lui indique que le consensus se profile.
2.2 2.2 Exposer des propositions : Au fil de la discussion, diverses propositions pourraient être faites ou un accord général sur la proposition initiale pourrait être exprimé. Le travail en petits groupes (structurés ou échanges informels avec ses voisins) est souvent un moyen productif de résoudre un problème en s’appuyant sur l’apport des uns et des autres. Le travail par petits groupes permet à tous les membres de participer aux délibérations. Si la question est claire et que le nombre d’idées pour sa résolution est limité, la personne qui préside ou un autre membre du Conseil peut résumer une proposition ferme à discuter. Il pourrait toutefois être nécessaire de soumettre toutes les idées à un groupe de travail qui rassemblera les réponses et travaillera à une proposition ferme à soumettre au Conseil pour étude.
3. Décision
3.1 3.1 Discussion d’une proposition spécifique : Au cours de cette étape, des personnes peuvent intervenir pour parler des avantages et désavantages de la proposition. Il est important d’entendre ceux qui expriment leur enthousiasme pour la proposition ainsi que ceux qui sont moins à l’aise ou désapprouvent. Les délégués sont encouragés à indiquer leur accord ou désaccord en utilisant leurs cartons de couleur. Des légères modifications dans l’énoncé peuvent être approuvées par le Conseil de temps en temps au fur et à mesure que les points de vue sont exprimés et examinés.
De temps en temps, la personne qui préside peut vérifier si le Conseil s’approche du consensus en résumant la situation qui semble se profiler à ce stade et en demandant « Quelle est votre réponse à cette proposition? » La réponse au moyen des cartons de couleur indiquera si le Conseil souhaite en discuter davantage.
3.2 Vérifier s’il y a consensus : Lorsque la personne qui préside pense que le consensus est atteint (en faveur ou contre) le Conseil est sollicité pour confirmer cela. La personne qui préside expose la situation et demande que l’on exprime son accord ou désaccord (cartons de couleur, oralement, en levant la main). Par exemple, cela peut être fait en posant l’une des questions suivantes :
- “Pensez-vous qu’il y a consensus en faveur de cette proposition ?” ou bien
- “Pensez-vous qu’il y a consensus contre cette proposition ?”
S’il n’y a pas de réponse claire pour vérifier s’il y a consensus, la discussion peut se poursuivre pour permettre que les doutes et les questions soient exprimées et que d’autres points de vue soient présentés. S’il y a unanimité pour ou contre la proposition, le consensus est atteint et le Conseil peut valider le résultat. (cf. paragraphe 3.3).
Il y a toutefois une troisième possibilité. Suite à un échange d’idées animé il pourrait y avoir un soutien fort mais pas unanime pour la proposition. Pour avoir une idée de la force de l’opinion, la personne qui préside peut poser des questions telles que :
- “Qui soutient la proposition ?”
- “Qui ne soutient pas la proposition comme premièr choix mais est prêt à l’accepter ?”
- “Qui n’est pas prêt à accepter la proposition?” S’il n’y a pas de réponse à cette question, la personne qui préside peut demander au Conseil :
- “Faut-il en discuter davantage ?”
- “Etes-vous prêts à considérer qu’il y a consensus sur cette question ?”
Si tous sont d’accord pour dire qu’il y a consensus le Conseil peut passer à l’étape 3.3.
Si certains ne sont toujours pas prêts à accepter la proposition, la personne qui préside invitera ces personnes à faire part de leurs appréhensions au Conseil et la discussion pourra se poursuivre. Si après un temps raisonnable un petit nombre de personnes est incapable d’être d’accord avec la majorité, le Conseil peut poursuivre la procédure exposée dans le paragraphe. 3.4. La personne qui préside devra faire preuve d’habilité pour éviter que le Conseil ne prenne du retard.
Il pourrait y avoir des personnes qui ne sont pas à l’aise avec ce qui est proposé, mais qui ne sont pas encore en mesure d’exprimer leur préoccupation. L’Esprit peut se manifester à travers l’expression de l’inquiétude ou de suggestions créatives pour l’énoncé de la proposition. Chaque personne mérite le respect lorsqu’elle exprime son opinion et personne ne devrait se sentir poussé à approuver quelque chose contre sa conviction.
3.3 Déclaration de consensus : Lorsque le consensus est atteint, par quelque manière qui semble appropriée (cartons, par oral, main levée), la personne qui préside déclarera que la proposition est résolue par consensus (pour ou contre).
3.4 Si des objections persistent : Le fait de faire part de ses appréhensions peut clarifier les préoccupations ou amener à de légères modifications dans l’énoncé pour permettre que la proposition soit soutenue ou acceptée. Le Conseil peut aussi exprimer son soutien ou son désaccord pour une modification du texte et le processus peut s’acheminer dans le sens d’une déclaration de consensus. Si les préoccupations exprimées indiquent qu’il faut en discuter davantage, il faudra procéder tel qu’indiqué dans le paragraphe 3.1. Si des objections ou un désaccord important sont exprimés sur l’énoncé de la proposition il faut pouvoir envisager un amendement de la proposition par le Conseil. (cf. paragraphe 2.2), ou alors demander à un groupe de travail de réviser la proposition et de soumettre une nouvelle ébauche au Conseil. Dans ce cas, le processus prévoit de retourner à l’étape mentionnée dans le paragraphe 2.2.
A ce stade avancé du processus, il est possible qu’une considération importante, non encore envisagée, s’exprime. Lorsque la personne qui préside pense que cela est le cas, le processus revient vers l’étape de clarification énoncée dans le paragraphe 1.2, permettant ainsi de développer le nouveau point de vue et d’ouvrir la discussion.
3.5 Accord – mais pas unanimité : Si (après des tentatives prudentes d’arriver à un consensus) un petit nombre de personne ne peut pas soutenir ou accepter le point de vue de la majorité, la personne qui préside peut demander :
- “Est-ce que ceux d’entre vous qui ne peuvent pas soutenir la proposition ou ne sont pas prêts à l’accepter estiment que votre point de vue a été entendu, même si vous n’êtes pas d’accord avec la proposition et ne pouvez pas l’accepter ?”
- “Est-ce que ceux d’entre vous qui soutiennent ou sont prêts à accepter cette proposition pensent que vous avez entendu ce que les autres membres du Conseil ont dit ?”
S’il est avéré que les vues divergentes ont été exprimées et comprises, la personne qui préside peut demander :
- “Est-ce que ceux d’entre vous qui sont minoritaires pour cette proposition sont prêts à prendre en compte le point de vue de la majorité et à permettre au Conseil de prendre acte de l’accord ?”
- “Le Conseil souhaite t-il donc prendre acte de l’accord sur cette proposition ?”
Si personne ne s’oppose, l’accord sera enregistré. Si une ou plusieurs personnes indiquent qu’ils sont contre, le Conseil passera à la prochaine étape (paragraphe 3.6).
3.6 Nécessité de prendre une décision maintenant : S’il n’y a pas de consensus sur une question le Conseil discutera sur la base des procédures de consensus la nécessité de prendre une décision pendant cette réunion. S’il n’y a pas consensus après un temps raisonnablement long sur le fait qu’il faut prendre une décision à cette réunion, la personne qui préside décidera d’appliquer une procédure formelle de vote (paragraphe 3.7). Si le Conseil juge nécessaire de prendre une décision à cette réunion, on peut y travailler davantage et le processus peut se poursuivre conformément aux options indiquées dans le paragraphe 3.8.
3.7 Décision par majorité formelle : S’il a consensus sur le fait qu’une décision est nécessaire maintenant ou que la personne qui préside doit appliquer une procédure de vote formelle, le Conseil passera immédiatement à la discussion de clôture concernant la proposition et décidera par le vote à la majorité formelle.
3.8 Autres possibilités : Lors d’une session concernant une question qui demande une décision et pour laquelle le Conseil n’est pas parvenu à un consensus ou a décide qu’une décision sur la proposition n’est pas nécessaire lors de cette réunion, diverses options sont possibles : a) soumettre la question au Comité Exécutif qui doit trancher; b) soumettre la question à nouveau au groupe qui a initié la proposition ou à un autre groupe spécifique pour qu’elle soit revue et soumise à nouveau au Conseil plus tard; ou c) décider que la proposition ne sera pas reconsidérée.
Chacune de ces trois options implique que la proposition est prise en compte et ne reste pas en suspend. S’il est décidé que la question ne sera pas considérée davantage, il faudra néanmoins en indiquer la raison, peut-être en gardant la porte ouverte pour des investigations et une présentation ultérieures ou alors en fermant définitivement la porte et en indiquant les raisons pour cela.
Pour les cas où un consensus est difficile à trouver, il incombe à ceux qui ont des doutes de travailler étroitement avec ceux qui ont initié la proposition pour trouver des moyens d’avancer et pas seulement d’exercer le droit de veto en refusant la coopération.
D’après « A Manual for Meetings », The United Church in Australia Assembly, 2001, Callingwood, Australia, pp. 25-30
Dossier de référene de la CMM 6.0 Directives / 6.2 Indications pour la prise de décisions par Consensus

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Matériel pédagogique De la Commission Foi et Vie
Le mot koinonia est devenu à juste titre un concept essentiel pour la CMM. Par ses
présentations, ses publications et ses activités, les responsables ont incité la communauté anabaptiste mondiale à approfondir ses relations. Même lorsque le mot koinonia n’est pas utilisé, une grande partie de notre vocabulaire s’y réfère : satisfaction des besoins, encouragement mutuel, recevoir et donner, communion fraternelle, interdépendance, solidarité, consensus, communion, communauté, unité, ‘être ensemble’. -
– Introduction Max Wiedmer jusqu’à 2’42’’
– Jonathan jusqu’à 13’32’’
– Intervention Matthew Krabill jusqu’à 13’56’’
– Intervention Siaka Traore jusqu’à la fin 16’10 »
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Les Écritures proposent trois modèles de relations fidèles avec les voisins musulmans en tant que reflet du Dieu trinitaire. Les participants examineront leurs propres relations avec les musulmans en réfléchissant à des exemples d’hôtes (Kenya et Amérique du Nord), d’invités (Somalie) et de partenaires mutuels (Tanzanie et le projet Alliés pour la Paix).
Animateur: Peter Sensenig travaille avec MMN et EMM en France et en Afrique francophone ; membre de l’équipe des relations islamo-chrétiennes de l’EMM ; Consultant interreligieux régional EMM Afrique de l’Est de 2015 à 2020 ; ordonné MCUSA 2008; PhD Théologie/Éthique chrétienne Fuller Theological Seminary; enseigné des cours dans deux universités du Somaliland ; auteur de Peace Clan: Mennonite Peacemaking in Somalia (Pickwick, 2016)

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A Conversation between Mennonite World Conference and the Seventh-day Adventist Church 2011-2012
In 2011 and 2012, representatives of the General Conference of Seventh-day Adventists and of the Mennonite World Conference met together for official conversations. In many respects the meetings proved to be a journey of mutual discovery.
Background
Mennonites and Adventists have had frequent contacts during the past forty years, particularly through their participation in the annual meetings of the secretaries of Christian World Communions. These periodic encounters, along with other contacts, gradually led to the conviction on both sides that an official conversation might be both instructive and valuable.Adventists and Mennonites have distinct identities that are critically important to them. From the outset of discussions leading to the conversation, it was understood that organic union was not the objective. Rather, the dialogue would provide an opportunity for learning about each other’s history, beliefs and values, clarifying misunderstandings, and removing stereotypes. Out of the discussion, therefore, might emerge areas where Mennonites and Adventists can join forces in selected areas of mutual concern.The two communions, viewed superficially, might appear to have little in common.
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Présenté au Conseil Général de la Conférence Mennonite Mondiale
Harrisburg, Pennsylvanie (É.-U.), juillet2015
Par Alfred Neufeld du Paraguay



